Il faut laisser l’effet se faire

Mona montrant sa fleur

Figurez-vous que la mode qui dépend de plus en plus de l’industrie pornographique nous invite à présenter notre boîte à ouvrages telle une moule de bouchot, sans aucune irrégularité avec un air pré-pubère voire même bébé.

Comment expliquer ce besoin de passer sur le billard pour se plaire et plaire au mâle ? Que de souffrances endurées… pour raccourcir ce que dame nature avait livré ; et tout çà, mes petites biches parce que vous êtes de plus en plus nombreuses à regarder régulièrement des films dont le scénario ne fatigue pas franchement le cerveau mais où la gymnastique a ses droits. Vous êtes (car je n’en suis pas) près de 30% à revendiquer le visionnage régulier de films X. Vous oubliez que les moyens techniques à disposition des cinéastes (si on peut ainsi qualifier ces filmeurs de fesses) permettent de modifier toute partie du corps sans pour autant les exhiber dans une salle d’opérations.

Or ce qui est beau tant chez l’homme que chez la femme, c’est la diversité. Un artiste anglais, Jamie McCartney a obtenu que plus de 400 femmes de tout âge lui expose leur tirelire à moustache et qu’il l’enduise d’une matière qui en séchant devient moule (si j’ose dire). Un peu de plâtre et résultat un mur de monts de Vénus de 9 mètres de long divisé en  quelques panneaux.

Difficile d’en trouver deux identiques. Et finalement cet artiste a trouvé un public essentiellement féminin qui découvre la beauté de chaque femme.

De même que dans ces pages, avec Lépicurien, nous avons toujours essayé de rassurer les hommes qui ont toujours peur que leur service trois pièces soit trop petit, je tiens à vous rassurer, mes petites loutes, il n’y a pas de forme idéale.

Mona aimé l’œuvre de Jamie. Et vous ?

1 pensée sur “Il faut laisser l’effet se faire”

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