N’oubliez pas de vous croquer les quenottes

Et encore ce n'est que le second tome
Et encore ce n’est que le second tome

S’il fallait que je collationne tous les gonzes qui ont voulu me marida, il faudrait que je prenne un calepin épaisseur Pléiade. Et pourtant les mecs après avoir batifolé dans ma broussaille, je leur montre la sortie et les prie d’oublier mon adresse. J’en vois d’ici des qui vont me trouver inhumaine, cruelle, castratrice. C’est possible mais je tiens par-dessus tout à ma liberté ; ma liberté, toi qui m’as fait aimer même la solitude, toi qui m’as fait sourire quand je voyais finir une belle aventure, toi qui m’as protégé quand j’allais me cacher pour soigner mes blessures.

Et comme dit Woody Allen : Le mariage c’est la mort de l’espoir. Quant à Jules Sandeau, il ajoute : Le mariage est un dîner qui commence par le dessert.

Le temps fait son œuvre et use les époux. Au fur et à mesure, la flamme amoureuse se réduit. Moi je ne veux que le dessert et chaque soir, j’aime à changer de pâtissier… et profiter de leurs spécialités.

Et ce n’est pas à la lecture de l’étude publiée par des chercheurs de l’université d’Oxford que je vais changer d’avis. Au début d’une relation, les amoureux s’embrassent comme des tourtereaux. Ils passent leur temps à s’échanger leurs langues. Puis quand ils se sont bagués l’annulaire, petit à petit leurs baisers se raréfient. Près de 20% des couples peuvent passer une semaine sans se rouler de pelles. Et lorsqu’ils se bécotent, 40% des mariés, ça dure cinq secondes. Inconcevable pour moi !

Moi, le mec qui passe dans mon pieu, il a intérêt à me galocher un max faute de quoi, il a aucun espoir de s’activer sur mon triangle à cresson. Qu’on se le dise.
Mona une langue, c’est pour s’en servir.

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